Une détresse sociale à ne pas minimiser

Depuis le 20 janvier dernier, un mouvement sans précédent , impulsé par le « lyannaj’ kont’ pwofitasyon » touche la Guadeloupe.
Ce mouvement traduit un problème de fond, généré par une carence en matière d’équité et de justice.

En effet, d’aucuns semblent avoir oublié que l’économie se doit d’être au service de l’Homme, et non l’inverse. Des élus locaux aux représentants de la République, en passant par le mouvement syndical et le tissu associatif, tous sont unanimes :

Cette crise sociale, doublée d’une crise identitaire impose plus que jamais le dialogue entre tous les acteurs locaux soucieux du développement de leur pays.

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